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lundi 27 mars 2017

Pour bacchanaliser en paix, il faut avoir tout préparé pour ses invités #motdisparu

Les bacchanales étaient les fêtes en l'honneur de Bacchus. Toutes sortes de débordements se produisaient : ivresse, orgie sexuelle... Le terme "bacchanale" est resté dans le langage courant actuel pour désigner les fêtes qui ne connaissent pas de limite. Ce qu'on ne sait pas, c'est que le verbe "bacchanaliser" existe et signifie simplement "se divertir, se donner du bon temps et s'adonner à la joie et aux plaisirs." Aujourd'hui, ce terme devrait pouvoir reprendre de la vigueur assez naturellement, s'il est savamment saupoudré dans quelques conversations quotidiennes. Il est possible qu'il conserve le côté péjoratif de la "bacchanale", mais tentons l'aventure voulez-vous. La période des fêtes étant propice à l'utilisation de ce verbe, il ne vous reste plus qu'à en user. "Bacchanaliser" tant que vous pouvez!

Nous attendons avec impatience vos phrases, paragraphes, textes, nouvelles, romans ou sagas utilisant ce terme. Vous pouvez les mettre soit en commentaire sous ce billet, soit en mettant le lien vers la page de votre site internet ou de votre blog où vous avez rédigé le texte. Les références Twitter sont également les bienvenues.

Cette semaine, racontez nous comment vous avez réussi à placer le verbe bacchanaliser dans vos conversations courantes (ou vos tweets)... et envoyez nous tous les termes surannés rencontrés que vous souhaitez voir apparaître dans cette rubrique! C'est un challenge, mais aussi un plaisir, pour nous de construire des textes avec des mots inusités (ou presque)!

L'équipe des Editions Secrètes

lundi 20 mars 2017

Seuls les candidats munis d'une grande fâme pourront débattre ce soir! #MotDisparu

Le buzz du week-end provient du candidat à l'élection présidentielle, monsieur Dupont-Aignan qui a quitté le "20heures" de TF1 pour marquer son désaccord avec le fait que la chaîne ait programmé un débat sans inviter l'ensemble des candidats. En effet, seuls ceux ayant une certaine renommée, une grande fâme, auront l'avantage de se retrouver pour discuter à l'antenne. C'est donc, pour nous, le moyen de remettre au goût du jour, ce mot fâme (ou fame, les deux orthographes sont possibles) qui signifie "renommée, popularité, réputation", dont on ne connaît plus que l'infâme dans l'usage quotidien!

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Cette semaine, racontez-nous comment vous avez réussi à placer le mot "fâme" dans vos conversations courantes (ou vos tweets)... et envoyez-nous tous les termes surannés rencontrés que vous souhaitez voir apparaître dans cette rubrique! C'est un challenge, mais aussi un plaisir, pour nous de construire des textes avec des mots inusités (ou presque)!

L'équipe des Editions Secrètes

lundi 13 mars 2017

"Escarpiner", un "déduit" tout comme lire ou bouquiner! #MotDisparu

Lundi dernier, nous vous présentions le verbe disparu "escarpiner", c'est-à-dire courir avec légèreté, une manière de se faire du bien, de se divertir pour assainir l'esprit. Dans le droit fil, nous pouvons dire qu'escarpiner, c'est véritablement un "déduit".

D'un point de vue littéraire, si l'on rencontre encore parfois le terme "déduit", substantif masculin pour signifier le coït, le plaisir ou le jeu amoureux, il a totalement disparu dans son sens premier pour signifier tout simplement le divertissement, l'activité plaisante, l'occupation agréable, et par extension, le plaisir, la joie, le bonheur.

Pourquoi ne pas remettre au goût du jour le terme "déduit" pour le loisir en général: non seulement pour les activités physiques, mais également celles plus intellectuelles telles que la lecture. L'une des définitions de celle-ci n'est-elle pas de prendre connaissance du contenu d'un texte écrit pour se distraire ?

Nous espérons que la lecture de ce mot disparu aura été un "déduit" pour vous. En tous les cas, pour nous, rechercher des mots rares et tenter de les "réactualiser", c'est un véritable "déduit" que l'on apprécie de partager ! "

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L'équipe des Editions Secrètes

lundi 6 mars 2017

Au printemps, retrouvez la forme en "escarpinant" ! #MotDisparu

En mars, les jours rallongent, les premiers rais flavescents font leur apparition. Les perce-neige, les crocus, le jasmin et les jonquilles viennent colorer nos jardins. Comment résister à l'envie "d'escarpiner", de prendre l'air, de respirer à pleins poumons la douce senteur florale des parcs...

À peine la journée terminée ou le week-end entamé, c'est à la hâte que l'on se met à l'aise pour "escarpiner", autrement dit courir avec légèreté, seul ou avec des amis.

"Escarpiner" n'est pas simplement un joli mot vieilli. Sans vouloir faire de performances à tout prix, courir permet de :

  • Perdre du poids ;
  • Nettoyer son organisme ;
  • Diminuer son stress ;
  • Réguler le cycle du sommeil ;
  • Renforcer ses défenses immunitaires.

C'est finalement cinq bonnes raisons pour se faire du bien et profiter en même temps de la nature qui se réveille.

Alors allez "escarpiner", mais prenez vos baskets, car mieux vaut ne pas être chaussé d'escarpins pour ce faire !

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lundi 27 février 2017

Jeter un "chat-en-jambes" ne fait pas forcément fuir à toutes jambes ! #MotDisparu

Les expressions de la langue française contenant les termes "chat" ou "jambe" ne manquent pas. Inutile de vous en dresser la liste, là n'est pas notre souhait ; vous risqueriez de prendre vos jambes à votre cou et déserter notre site. En revanche, le mot composé, qui n'est plus guère usité aujourd'hui, constitué des deux termes "chat" et "jambe", et dont le sens ne se laisse pas forcément deviner par l'un des deux, est d'un intérêt particulier. Seule une préposition relie les mots entre eux. L'avez-vous devinée ? Peut-être donnerez-vous votre langue au chat ?

Si l'on vous dit "chat-en-jambes", certains esprits polissons pourraient y voir une connotation érotique. Eh bien, ne vous en déplaise, ce mot composé, absolument pas coquin, signifie l'embarras que l'on suscite à quelqu'un. La locution plus répandue est "jeter le chat aux jambes".

Ce terme fut employé un jour par l'écrivain et journaliste français Michaud, qu'il appliqua à propos de l'accusation forgée par lui et d'autres écrivains royalistes sous le Directoire à l'encontre de Marie-Joseph. "Ah !" dit-il en souriant et s'applaudissant, "nous lui avons lâché là un fameux chat-en-jambes."

Terme particulièrement d'actualité, force est de constater que les "chats-en-jambes" jetés parmi les hommes politiques ces dernières semaines ne font pas fuir ceux-ci à toutes jambes...

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lundi 20 février 2017

La "prodition" : un coup de poignard dans le dos ! #MotDisparu

Le titre de notre mot rare suffit presque à lui-même sans qu'il faille véritablement vous en livrer la définition.

La "prodition" aura fait la une des journaux ces dernières semaines sans pour autant que ce mot n'ait été prononcé puisque, a fortiori, il a disparu. Le terme employé a été la trahison. Quand certains se disent victimes d'un complot, les autres, ceux qui les soutenaient, leur vouaient toute leur confiance, se disent et sont victimes de "prodition", autrement dit de trahison.

Voilà un mot synonyme disparu qui pourrait bien revenir à la mode en ces temps où la volonté de parvenir au pouvoir pour certains s'achève par leur perdition !

Pourtant, depuis la nuit des temps, la prodition traverse les époques, les actes de trahison se répètent inexorablement. Brutus, Judas, Laval, Pétain... pour ne citer que quelques exemples. Et il n'est pas besoin d'être un homme politique pour être traître. Qui n'a pas connu dans son entourage quelqu'un que l'on a cru fidèle, à qui l'on a donné toute sa confiance et son amitié, et qui révèle un jour sa fourberie?

Sans jeu de mots, les judas à nos portes n'empêchent pas les Judas de franchir celles-ci.

Force est de constater que la "prodition" est toujours là où on ne l'attend pas !

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lundi 6 février 2017

Canabassez-moi ce dossier afin qu'on en finisse au plus vite! #MotDisparu

Sans aucune allusion à quiconque ou si peu, sans vouloir être mauvaise langue bien au contraire (notre volonté étant de vous faire redécouvrir les mots anciens de notre belle langue), le contexte politique de ces derniers jours nous a permis de retrouver ce verbe disparu : "canabasser".

À vous qui faites l'objet de nombreuses critiques, voire de calomnies, afin de vous en débarrasser, si tant est qu'elles ne soient pas fondées, il vous faudra :

1° De la paperasse, beaucoup en brasser ;
2 ° Des pièces probantes, en amasser ;
3 ° Et avant l'audition ou le procès, votre dossier, le "canabasser"...

En d'autres termes, il vous faudra examiner avec le plus grand soin, revoir et discuter votre entier dossier, tout comme le fera votre avocat pour assurer au mieux la défense de vos intérêts.

Voilà qui devrait vous permettre de prendre la mesure de la tâche, car "canabasser" un procès, ce n'est pas potasser son dossier, c'est bien plus : c'est en revoir toutes les pièces, une à une, avec beaucoup de minutie et de rigueur...

Ce verbe ancien exprime une tâche âpre à l'image des ouvrières en tapisserie d'antan qui s'appliquaient à compter et recompter tous les fils de leur canevas, avec autant d'exactitude.

Madame, Monsieur, autrement dit, pour lever tout doute et taire la médisance, il vous faudra "canabasser" la présomption d'innocence.

Nous attendons avec impatience vos phrases, paragraphes, textes, nouvelles, romans ou sagas utilisant ce terme. Vous pouvez les mettre soit en commentaire sous ce billet, soit en mettant le lien vers la page de votre site internet ou de votre blog où vous avez rédigé le texte. Les références Twitter sont également les bienvenues.

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lundi 30 janvier 2017

Les "apices" sont à la langue ce que les épices sont au goût ! #MotDisparu

Les apices : ô quel drôle de mot que voilà ! Pluriel du mot "apex", terme d'origine latine signifiant sommet ou pointe, les apices sont les petits signes, tels que les accents que l'on mettait dans l'écriture du grec.

Ce terme a aujourd'hui complètement disparu pour qualifier les accents. Dans la langue de Molière, les trois apices (accents aigu, grave et circonflexe) servent soit à modifier la consonance d'une lettre, soit à distinguer les homophones. Plus précisément, ces signes diacritiques suscrits, placés au-dessus d'une lettre, ont, dans ce deuxième cas, pour seul but d'empêcher la confusion des mots entre eux : a / à ; la / là ; sur / sûr ; ou / où ; tache / tâche ; mur / mûr ; jeune / jeûne ; vit / vît... pour ne citer que quelques exemples. Ils sont donc d'une aide très précieuse à la compréhension d'un écrit.

Ainsi, les accents ou apices caractérisent et distinguent notre belle langue et il importe qu'ils ne tombent pas en désuétude.

Oublier les apices dans un texte, c'est comme cuisiner sans épices: c'est insipide. Alors blâmons leur absence et prônons leur emploi.

Gageons que cette courte présentation des "apices" leur permette d'heureux auspices !

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lundi 23 janvier 2017

La "gourmade" comme la gifle et la fessée au rang des actes répréhensibles ! #MotDisparu

La gifle aura fait dernièrement couler beaucoup d'encre... peut-être tout autant que la fessée. Inutile de vous rappeler à qui la première a été donnée la semaine dernière... La seconde concerne plus particulièrement nos chérubins. Rappelons-le, désormais sont interdits tous les actes de violence, qu'ils soient verbaux, psychologiques ou physiques à l'égard de nos enfants...

Et la gourmade, qu'est-ce donc ? Sachez-le, la gourmade n'a rien à voir avec la gourmandise. C'est ni plus ni moins un coup de poing, particulièrement sur la figure. C'est un acte que l'on blâme, quoique parfois, gourmer soulage... si c'est sur un punching-ball.

Pourtant, il nous plaît de rappeler ce terme familier et oublié, non pas pour l'utiliser dans son sens propre, mais pour l'employer dans son sens figuré.

Si la gifle, la fessée ou la gourmade sont des actes répréhensibles, ils le sont beaucoup moins employés par extension ou avec ironie. Ils peuvent prêter à sourire... plus ou moins... ou pas, pour autant que l'on ait de l'humour... plus ou moins... ou pas.

Les employer fait partie de ce qu'on appelle la liberté d'expression, liberté qui n'est rien d'autre qu'une gourmade aux idées reçues et aux régimes totalitaires.

Ainsi, comme nous, saurez-vous être l'avocat de ce vieux mot, le défendre et l'employer pour donner une gourmade à l'oubli des mots disparus ?

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lundi 16 janvier 2017

L'hiver s'installe : sortez vos « tapabors » ! #MotDisparu

Le vent, la neige, le froid vont gagner tout l'hexagone cette semaine. Alors mieux vaut prévoir son tapabor.

Voilà un terme vieilli particulièrement de circonstance qu'il nous plaît de vous présenter. Le tapabor, un mot oublié, est une sorte de bonnet, très apprécié en campagne et des marins et pêcheurs, dont on peut rabattre les bords arrière qui couvrent la nuque et les épaules pour se protéger du vent et de la pluie.

Ce terme est la contraction de taper à bord qui signifiait monter à l'abordage.

Ce mot peut aussi s'écrire tapabord, l'orthographe de César-Pierre Richelet et de Pierre Corneille. Tapabor est l'orthographe d'Antoine Furetière et de l'Académie.

Mais avec ou sans d, peu importe : pourvu qu'il protège. Certes, vous ne serez peut-être pas très sexy, mais le porter évitera l'engourdissement de votre nuque et de vos épaules.

Alors, sexy ou pas, ne vous laissez pas surprendre par le froid : cette semaine, portez un « tapabor » !

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